Récompenses Remarquables
Cette édition a vu le film « L’Esclave », réalisé par Abdelilah El Jaouhari, décrocher le deuxième prix dans la catégorie des longs métrages. Par ailleurs, le grand prix du court métrage a été attribué à « Ayyur » (Lune), œuvre de la jeune réalisatrice Zineb Wakrim. En outre, Saad Mouaffak a été honoré du prix du meilleur acteur pour son interprétation dans « L’Esclave ».
Thématiques abordées
« L’Esclave » explore des thèmes profonds tels que les relations au travail, la hiérarchie, le capitalisme, la lutte des classes et la déshumanisation au sein du monde professionnel. Ce film a récemment également été primé au Festival international du film de Kazan « Altyn Minbar », renforçant ainsi sa reconnaissance sur la scène internationale.
De son côté, « Ayyur » (Lune) a déjà reçu le 3e prix de la Cinef à Cannes en 2023, dédié aux films d'école de cinéma. Ce court métrage se concentre sur la vie de deux adolescents atteints de la « maladie des enfants de la lune », une pathologie génétique rare les rendant sensibles aux rayons du soleil. Ces succès témoignent de la vitalité et de la créativité du cinéma marocain sur la scène mondiale.
Cette édition a vu le film « L’Esclave », réalisé par Abdelilah El Jaouhari, décrocher le deuxième prix dans la catégorie des longs métrages. Par ailleurs, le grand prix du court métrage a été attribué à « Ayyur » (Lune), œuvre de la jeune réalisatrice Zineb Wakrim. En outre, Saad Mouaffak a été honoré du prix du meilleur acteur pour son interprétation dans « L’Esclave ».
Thématiques abordées
« L’Esclave » explore des thèmes profonds tels que les relations au travail, la hiérarchie, le capitalisme, la lutte des classes et la déshumanisation au sein du monde professionnel. Ce film a récemment également été primé au Festival international du film de Kazan « Altyn Minbar », renforçant ainsi sa reconnaissance sur la scène internationale.
De son côté, « Ayyur » (Lune) a déjà reçu le 3e prix de la Cinef à Cannes en 2023, dédié aux films d'école de cinéma. Ce court métrage se concentre sur la vie de deux adolescents atteints de la « maladie des enfants de la lune », une pathologie génétique rare les rendant sensibles aux rayons du soleil. Ces succès témoignent de la vitalité et de la créativité du cinéma marocain sur la scène mondiale.
L'ODJ avec hespress