Par Anwar Salah CHERKI
Sur une étendue d'herbe où le destin se joue, deux royaumes flamboyants, jadis séparés par un étroit bras de mer, se préparent à l'affrontement.
L'avenir de ces terres, riches de leurs traditions et de leur héritage, repose désormais sur un ballon rond, un simple globe de cuir qui porte en lui tous les espoirs et les aspirations.
Sous le ciel azur, vingt-deux jeunes héros, parés de leurs armures modernes, entrent sur l'arène.
Ils ne portent ni épées ni boucliers, mais chaussent des crampons aiguisés, prêts à tracer l'épopée de leur nation.
Leurs yeux brillent d'une lueur d'acier, et leurs cœurs battent au rythme des chants de combat, résonnant dans le souffle du vent.
Le sifflet retentit, et tel le cor de Roland aux portes de l'ultime bataille, il appelle à la lutte.
Les corps se lancent, se heurtent, s'élèvent et chutent, dans une danse où la sueur se mêle à l'effort.
Chaque passe est une flèche décochée, chaque dribble, une esquive gracile.
Le ballon, comme un faucon, fend l'air et virevolte, échappant aux prises, attirant à lui les regards, les souffles suspendus.
Ils jouent pour l'honneur, pour l'histoire, pour l'or qui brille dans les songes de leurs peuples.
Les chants s'élèvent des tribunes, clameurs d'encouragement et prières ferventes, comme une mer houleuse accompagnant ces jeunes guerriers.
Les voix s'entremêlent, portées par un même souffle, celui de la passion et du rêve collectif.
Les minutes s'écoulent, chaque instant rapprochant les deux camps de l'issue fatidique.
Le stade devient une arène de légendes, où chaque geste est gravé dans le marbre du souvenir.
Les derniers souffles sont tirés, les ultimes forces puisées dans les réserves d'un cœur ardent.
Le ballon, objet de convoitise, devient le Graal, à portée de main, à portée de rêve.
Le coup de grâce arrive, un tir fulgurant fend l'air, et dans un ultime éclat, la décision est scellée.
Les cris explosent, de joie pour les uns, de tristesse pour les autres.
Mais dans ce combat, il n'y a ni vainqueurs ni vaincus, seulement des champions de l'âme, honorés pour leur bravoure et leur dévouement.
Ce jour-là, sur cette pelouse bénie par les dieux du sport, deux royaumes ont croisé le fer dans une joute chevaleresque.
Leur avenir, teinté de l'éclat d'un ballon rond, s'est joué dans le respect et l'honneur, sous l'œil bienveillant des étoiles.
Que les générations futures se souviennent de cette rencontre, de ces gladiateurs modernes, qui ont concouru pour le Graal avec la noblesse et la passion des héros d'antan.
L'avenir de ces terres, riches de leurs traditions et de leur héritage, repose désormais sur un ballon rond, un simple globe de cuir qui porte en lui tous les espoirs et les aspirations.
Sous le ciel azur, vingt-deux jeunes héros, parés de leurs armures modernes, entrent sur l'arène.
Ils ne portent ni épées ni boucliers, mais chaussent des crampons aiguisés, prêts à tracer l'épopée de leur nation.
Leurs yeux brillent d'une lueur d'acier, et leurs cœurs battent au rythme des chants de combat, résonnant dans le souffle du vent.
Le sifflet retentit, et tel le cor de Roland aux portes de l'ultime bataille, il appelle à la lutte.
Les corps se lancent, se heurtent, s'élèvent et chutent, dans une danse où la sueur se mêle à l'effort.
Chaque passe est une flèche décochée, chaque dribble, une esquive gracile.
Le ballon, comme un faucon, fend l'air et virevolte, échappant aux prises, attirant à lui les regards, les souffles suspendus.
Ils jouent pour l'honneur, pour l'histoire, pour l'or qui brille dans les songes de leurs peuples.
Les chants s'élèvent des tribunes, clameurs d'encouragement et prières ferventes, comme une mer houleuse accompagnant ces jeunes guerriers.
Les voix s'entremêlent, portées par un même souffle, celui de la passion et du rêve collectif.
Les minutes s'écoulent, chaque instant rapprochant les deux camps de l'issue fatidique.
Le stade devient une arène de légendes, où chaque geste est gravé dans le marbre du souvenir.
Les derniers souffles sont tirés, les ultimes forces puisées dans les réserves d'un cœur ardent.
Le ballon, objet de convoitise, devient le Graal, à portée de main, à portée de rêve.
Le coup de grâce arrive, un tir fulgurant fend l'air, et dans un ultime éclat, la décision est scellée.
Les cris explosent, de joie pour les uns, de tristesse pour les autres.
Mais dans ce combat, il n'y a ni vainqueurs ni vaincus, seulement des champions de l'âme, honorés pour leur bravoure et leur dévouement.
Ce jour-là, sur cette pelouse bénie par les dieux du sport, deux royaumes ont croisé le fer dans une joute chevaleresque.
Leur avenir, teinté de l'éclat d'un ballon rond, s'est joué dans le respect et l'honneur, sous l'œil bienveillant des étoiles.
Que les générations futures se souviennent de cette rencontre, de ces gladiateurs modernes, qui ont concouru pour le Graal avec la noblesse et la passion des héros d'antan.
Ce poème évoque un affrontement symbolique entre deux royaumes, autrefois séparés par une mer étroite, se jouant sur une pelouse verte.
Leur avenir repose désormais sur un ballon rond, représentant les espoirs et les aspirations de chacun. Vingt-deux jeunes héros, équipés de crampons modernes, entrent en scène, leurs cœurs battant au rythme des chants de combat.
Le sifflet, tel un cor de bataille, lance l'affrontement où chaque mouvement est stratégique, chaque passe une flèche, chaque dribble une esquive. Le ballon, volant comme un faucon, capte l'attention et les rêves collectifs. Les chants des tribunes résonnent, portés par la passion et l'unité des supporters. Au fur et à mesure que le temps s'écoule, chaque geste devient légendaire, gravé dans la mémoire collective.
Enfin, un tir décisif scelle le sort du match, engendrant des cris de joie et de tristesse. Dans cette lutte chevaleresque, il n'y a ni vainqueurs ni vaincus, seulement des champions honorés pour leur bravoure et leur dévouement. Ce jour-là, sous le regard bienveillant des étoiles, deux royaumes ont concouru avec noblesse, et leur héritage sera rappelé par les générations futures.
Le sifflet, tel un cor de bataille, lance l'affrontement où chaque mouvement est stratégique, chaque passe une flèche, chaque dribble une esquive. Le ballon, volant comme un faucon, capte l'attention et les rêves collectifs. Les chants des tribunes résonnent, portés par la passion et l'unité des supporters. Au fur et à mesure que le temps s'écoule, chaque geste devient légendaire, gravé dans la mémoire collective.
Enfin, un tir décisif scelle le sort du match, engendrant des cris de joie et de tristesse. Dans cette lutte chevaleresque, il n'y a ni vainqueurs ni vaincus, seulement des champions honorés pour leur bravoure et leur dévouement. Ce jour-là, sous le regard bienveillant des étoiles, deux royaumes ont concouru avec noblesse, et leur héritage sera rappelé par les générations futures.