Par Adnane Benchakroun
Sous le ciel espagnol, où le soleil s’endort,
Je goûte aux joies de l'été, aux plages et aux ports,
Mais dans cette douceur, un fléau se déchaîne,
Les moustiques s’acharnent, sur ma peau qu'ils enchaînent.
Je suis la seule cible, dans ce bal effréné,
Les femmes à mes côtés, demeurent épargnées,
Ni grandes, ni petites, ni blondes, ni rousses,
Ne subissent l'assaut de ces ailes qui poussent.
Homophones et cruels, ces insectes perfides,
Me laissent à découvert, sous leurs morsures avides,
Tandis que mes compagnes rient de leur répit,
Je me débats en vain contre ce sombre appétit.
Ô Espagne dorée, terre de chaleur et de vin,
Pourquoi donc tes nuits, me punissent sans fin ?
Le moustique, insensible, à la beauté du lieu,
Ne vise que ma chair, en un destin odieux.
Les terrasses fleuries, les ruelles animées,
Ne sont plus que théâtre, de ma lutte acharnée,
Car ces moustiques-là, aux coutumes étranges,
Ignorent les beautés, pour mieux me venger.
Les plages de sable fin, où le corps se repose,
Se transforment pour moi, en un champ de métamorphoses,
Chaque piqûre est une marque, un hommage ironique,
À l'homme seul ciblé, dans ce rituel cynique.
Les soirs andalous, sous la lune complice,
Tandis que les guitares chantent l'éternelle délice,
Moi, je bataille seul, contre cet ennemi,
Les femmes à mes côtés, exemptes de ce sursis.
Elles se moquent gentiment, de mon sort malheureux,
Protégées par un charme, ou un mystère ombrageux,
Homophones peut-être, ces moustiques maudits,
Me laissent sans répit, sous ce ciel si joli.
Le sang coule léger, sous la morsure ardente,
Je maudis ces instants, où la plage est tentante,
Et où le moustique rôde, en silence assassin,
Me laissant marqué, au cœur de ce doux matin.
Ô toi, vacancier, qui vient chercher ici,
Le repos, la paix, sous le ciel de l'Espagne amie,
Prends garde aux moustiques, sélectifs et sournois,
Ils pourraient t'ignorer, pour moi faire leur choix.
Ainsi, mes vacances, sous ce ciel d’azur,
Sont marquées par la lutte, contre ces piqûres,
Les femmes sourient, indemnes et tranquilles,
Tandis que moi, je subis leur morsure subtile.
Espagne, je t’aime bien, malgré ces maux nocturnes,
Car sous tes étoiles, même si la douleur perdure,
Je ris de mon sort, dans ce combat futile,
Contre les moustiques fous, dans cette nuit fragile.
Je goûte aux joies de l'été, aux plages et aux ports,
Mais dans cette douceur, un fléau se déchaîne,
Les moustiques s’acharnent, sur ma peau qu'ils enchaînent.
Je suis la seule cible, dans ce bal effréné,
Les femmes à mes côtés, demeurent épargnées,
Ni grandes, ni petites, ni blondes, ni rousses,
Ne subissent l'assaut de ces ailes qui poussent.
Homophones et cruels, ces insectes perfides,
Me laissent à découvert, sous leurs morsures avides,
Tandis que mes compagnes rient de leur répit,
Je me débats en vain contre ce sombre appétit.
Ô Espagne dorée, terre de chaleur et de vin,
Pourquoi donc tes nuits, me punissent sans fin ?
Le moustique, insensible, à la beauté du lieu,
Ne vise que ma chair, en un destin odieux.
Les terrasses fleuries, les ruelles animées,
Ne sont plus que théâtre, de ma lutte acharnée,
Car ces moustiques-là, aux coutumes étranges,
Ignorent les beautés, pour mieux me venger.
Les plages de sable fin, où le corps se repose,
Se transforment pour moi, en un champ de métamorphoses,
Chaque piqûre est une marque, un hommage ironique,
À l'homme seul ciblé, dans ce rituel cynique.
Les soirs andalous, sous la lune complice,
Tandis que les guitares chantent l'éternelle délice,
Moi, je bataille seul, contre cet ennemi,
Les femmes à mes côtés, exemptes de ce sursis.
Elles se moquent gentiment, de mon sort malheureux,
Protégées par un charme, ou un mystère ombrageux,
Homophones peut-être, ces moustiques maudits,
Me laissent sans répit, sous ce ciel si joli.
Le sang coule léger, sous la morsure ardente,
Je maudis ces instants, où la plage est tentante,
Et où le moustique rôde, en silence assassin,
Me laissant marqué, au cœur de ce doux matin.
Ô toi, vacancier, qui vient chercher ici,
Le repos, la paix, sous le ciel de l'Espagne amie,
Prends garde aux moustiques, sélectifs et sournois,
Ils pourraient t'ignorer, pour moi faire leur choix.
Ainsi, mes vacances, sous ce ciel d’azur,
Sont marquées par la lutte, contre ces piqûres,
Les femmes sourient, indemnes et tranquilles,
Tandis que moi, je subis leur morsure subtile.
Espagne, je t’aime bien, malgré ces maux nocturnes,
Car sous tes étoiles, même si la douleur perdure,
Je ris de mon sort, dans ce combat futile,
Contre les moustiques fous, dans cette nuit fragile.
En musique
Ce poème raconte l'expérience ironique d'un vacancier en Espagne, où il devient la cible privilégiée des moustiques, tandis que les femmes qui l'accompagnent sont complètement épargnées
Le poème joue sur l'idée que les moustiques sont "homophones" ou "antropophobe" épargnant toutes les femmes, qu'elles soient grandes ou petites, blondes ou rousses, pour ne piquer que lui. Malgré la beauté des lieux, chaque soirée devient une lutte contre ces insectes, transformant ses vacances en une épreuve inattendue.
Le vacancier, frustré, se demande contre qui porter plainte, car son assurance ne couvre pas ces piqûres répétées. Le refrain souligne l'absurdité de la situation : les moustiques ne prennent pas de vacances, et il reste seul à subir leurs assauts, sans aucun recours.
Le poème, écrit dans un style satirique et épique, illustre avec humour la lutte désespérée du vacancier face à ces moustiques tenaces.
Le vacancier, frustré, se demande contre qui porter plainte, car son assurance ne couvre pas ces piqûres répétées. Le refrain souligne l'absurdité de la situation : les moustiques ne prennent pas de vacances, et il reste seul à subir leurs assauts, sans aucun recours.
Le poème, écrit dans un style satirique et épique, illustre avec humour la lutte désespérée du vacancier face à ces moustiques tenaces.