Le DoJ frappe fort : Chrome, l’otage de la libre concurrence
Cette affaire remonte à l’administration Biden, qui avait déjà mis en lumière le rôle dominant de Chrome dans l’écosystème technologique. Avec plus de 60 % de parts de marché, ce navigateur est perçu comme un levier stratégique pour Google, lui permettant de renforcer sa position dominante dans les secteurs de la publicité en ligne et de la collecte de données. L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche avait pourtant suscité des espoirs chez les géants de la tech, dont Google, qui espéraient une approche plus favorable aux entreprises américaines. Mais ces attentes se sont rapidement évanouies. Le DoJ, malgré le changement d’administration, maintient fermement sa position, estimant que le contrôle de Chrome par Google nuit à l’innovation et empêche l’émergence de concurrents viables.
Pour Google, une telle décision serait un coup dur, tant sur le plan financier que stratégique. Chrome est un élément central de son écosystème, reliant ses services phares comme Gmail, Google Search et YouTube. La firme de Mountain View devra désormais convaincre la justice qu’elle peut opérer sans enfreindre les règles de la concurrence, ou se préparer à une restructuration majeure.
Pour Google, une telle décision serait un coup dur, tant sur le plan financier que stratégique. Chrome est un élément central de son écosystème, reliant ses services phares comme Gmail, Google Search et YouTube. La firme de Mountain View devra désormais convaincre la justice qu’elle peut opérer sans enfreindre les règles de la concurrence, ou se préparer à une restructuration majeure.