Poème en vers et en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Dans la fraîcheur glacée d’un bar singulier,
Où l’Andalousie fond sous la glace polaire,
Je rencontrai Badinter, philosophe éclairé,
Son regard perçant, plein de sagesse austère.
Sous les voûtes glacées, un mojito à la main,
Je l’abordai, curieux de ses pensées subtiles,
« Que pensez-vous, madame, du féminisme moderne,
De #MeToo, ce cri qui des cœurs distille ? »
Elle sourit, songeuse, puis me répondit,
« Le féminisme change, comme le monde évolue,
Autrefois, c’était l’égalité que l’on fit,
Aujourd’hui, c’est la lutte contre l’abus qui perdure. »
Je hochai la tête, désireux d’en savoir plus,
« Mais cette peur des hommes, née du mouvement,
N’est-elle pas une ombre, une peur confuse,
Qui pourrait diviser, semer le tourment ? »
Elle posa son verre, un instant pensive,
« La peur est réelle, mais passagère, je crois,
Elle force une réflexion plus intensive,
Un réajustement des mœurs, des lois. »
Le froid du bar contrastait avec la chaleur,
Des mots échangés, sincères et brûlants,
« Ne craignez-vous pas une plus grande fracture,
Entre les sexes, par ce mouvement galopant ? »
Elle me fixa, l’air grave mais sans détour,
« Le danger est là, mais la solution est simple,
Ne pas généraliser, garder l’amour,
Entre hommes et femmes, comme la vie en temple. »
Le féminisme d’hier, me dit-elle en douceur,
C’était l’égalité des droits, des chances,
Aujourd’hui, la lutte est autre, mais le cœur,
Doit se souvenir de ces premières semences.
« Que changeriez-vous dans le combat moderne ? »
Lui demandai-je, songeur, sous cette voûte froide,
« Qu’il ne perde pas de vue les luttes anciennes,
L’autonomie, les droits, qu’il n’aille à la dérade. »
La nuit s’étendait, la glace fondait à peine,
Et nos mots se mêlaient à la vapeur des souffles,
« Le féminisme doit être une quête sereine,
Non une guerre, mais un dialogue qui souffle. »
Enfin, elle conclut, avec une lueur tendre,
« Le chemin est long, mais il se fait ensemble,
Femmes et hommes, unis pour mieux défendre,
Un monde plus juste, où l’égalité s’assemble. »
Nous quittâmes le bar, l’âme réchauffée,
Par ce dialogue, si riche et nécessaire,
Dans la chaleur nocturne, nos esprits apaisés,
Portant en nous cette rencontre singulière.
Où l’Andalousie fond sous la glace polaire,
Je rencontrai Badinter, philosophe éclairé,
Son regard perçant, plein de sagesse austère.
Sous les voûtes glacées, un mojito à la main,
Je l’abordai, curieux de ses pensées subtiles,
« Que pensez-vous, madame, du féminisme moderne,
De #MeToo, ce cri qui des cœurs distille ? »
Elle sourit, songeuse, puis me répondit,
« Le féminisme change, comme le monde évolue,
Autrefois, c’était l’égalité que l’on fit,
Aujourd’hui, c’est la lutte contre l’abus qui perdure. »
Je hochai la tête, désireux d’en savoir plus,
« Mais cette peur des hommes, née du mouvement,
N’est-elle pas une ombre, une peur confuse,
Qui pourrait diviser, semer le tourment ? »
Elle posa son verre, un instant pensive,
« La peur est réelle, mais passagère, je crois,
Elle force une réflexion plus intensive,
Un réajustement des mœurs, des lois. »
Le froid du bar contrastait avec la chaleur,
Des mots échangés, sincères et brûlants,
« Ne craignez-vous pas une plus grande fracture,
Entre les sexes, par ce mouvement galopant ? »
Elle me fixa, l’air grave mais sans détour,
« Le danger est là, mais la solution est simple,
Ne pas généraliser, garder l’amour,
Entre hommes et femmes, comme la vie en temple. »
Le féminisme d’hier, me dit-elle en douceur,
C’était l’égalité des droits, des chances,
Aujourd’hui, la lutte est autre, mais le cœur,
Doit se souvenir de ces premières semences.
« Que changeriez-vous dans le combat moderne ? »
Lui demandai-je, songeur, sous cette voûte froide,
« Qu’il ne perde pas de vue les luttes anciennes,
L’autonomie, les droits, qu’il n’aille à la dérade. »
La nuit s’étendait, la glace fondait à peine,
Et nos mots se mêlaient à la vapeur des souffles,
« Le féminisme doit être une quête sereine,
Non une guerre, mais un dialogue qui souffle. »
Enfin, elle conclut, avec une lueur tendre,
« Le chemin est long, mais il se fait ensemble,
Femmes et hommes, unis pour mieux défendre,
Un monde plus juste, où l’égalité s’assemble. »
Nous quittâmes le bar, l’âme réchauffée,
Par ce dialogue, si riche et nécessaire,
Dans la chaleur nocturne, nos esprits apaisés,
Portant en nous cette rencontre singulière.
Ce poème évoque une rencontre imaginaire entre le narrateur et la philosophe Badinter dans un bar froid, où ils discutent du féminisme moderne.
Le narrateur, curieux, interroge Badinter sur le mouvement #MeToo et ses implications. Badinter, avec sagesse, explique que le féminisme a évolué, passant de la quête d'égalité à la lutte contre les abus. Elle reconnaît la peur des hommes engendrée par ce mouvement, mais la considère passagère, conduisant à une réflexion plus profonde et à un réajustement des mœurs et des lois. Elle insiste sur l'importance de ne pas généraliser, de maintenir l'amour et le dialogue entre les sexes.
Le poème se termine par un appel à poursuivre cette quête d'égalité ensemble, avec sérénité et respect pour les luttes passées. La rencontre laisse les deux protagonistes apaisés, enrichis par cet échange.
Le poème se termine par un appel à poursuivre cette quête d'égalité ensemble, avec sérénité et respect pour les luttes passées. La rencontre laisse les deux protagonistes apaisés, enrichis par cet échange.